La conformité ESG n’est plus seulement une case réglementaire à cocher, elle devient un véritable levier stratégique pour les entreprises suisses.

Mais face à des normes en constante évolution, de nombreuses entreprises se posent les questions suivantes :

❓ Rapportons-nous simplement, ou alignons-nous réellement notre stratégie ESG avec la création de valeur ?

❓ Disposons-nous de la gouvernance et de la qualité de données nécessaires pour un reporting ESG crédible ?

❓ Si nous croissons ou pénétrons de nouveaux marchés, notre cadre ESG peut-il suivre ?

Les entreprises cotées en Suisse adoptent de plus en plus divers protocoles, non seulement pour se conformer, mais aussi pour renforcer la confiance et leur compétitivité.
Parallèlement, de nouvelles exigences légales émergent, élargissant le champ du reporting non financier et durcissant les obligations de diligence raisonnable en matière d’ESG.

Voici trois leviers stratégiques souvent négligés :

Consolider vos cadres de reporting → évitez les incohérences en alignant tôt l’architecture de vos solutions, notamment si vous jonglez entre les protocoles ESG et le Code suisse des obligations.

Revoir les rôles de gouvernance et les pratiques d’assurance → l’ESG ne relève plus seulement des équipes développement durable. Il requiert l’implication du conseil d’administration, du CEO, du CFO, et plus largement de toute la direction, avec une chaîne claire de responsabilité.

Passer du papier à l’intention → les investisseurs et partenaires recherchent une démarche ESG non seulement conforme, mais ancrée dans les opérations : approvisionnement responsable, efficacité énergétique, résilience climatique…

📍 La réglementation ESG suisse évolue rapidement.

Les entreprises pionnières transforment la conformité en un véritable facteur de différenciation stratégique, renforçant leur réputation, leur capacité d’innovation, et leur accès au capital.
Celles qui tardent s’exposent à n’être perçues que comme de simples suiveuses.