Certaines des décisions les plus difficiles ne s’appuient ni sur des données claires, ni sur des arbitrages simples, ni sur des résultats garantis.
Elles impliquent des personnes, des valeurs, le temps et le risque. Et dans ces moments-là, le leadership ne consiste pas à avoir raison. Il s’agit d’être prêt.
Posez-vous ces questions :
❓ Quand la route se divise, retarde-t-on la décision ou choisit-on avec intention ?
❓ Êtes-vous aussi à l’aise dans l’exploration (idées nouvelles) que dans l’exécution (stabilité) ?
❓ Êtes-vous entouré de personnes qui vous challengent ou uniquement de celles qui vous confortent ?
👉 En contexte incertain, les compétences techniques ne suffisent plus.
Ce qui distingue les leaders résilients, c’est leur capacité à être :
✅ Ambidextres : équilibrer exécution court terme et transformation long terme
✅ Lucides : repérer quand la peur ou l’ego influencent leurs choix
✅ Conscients des systèmes : percevoir les répercussions bien au-delà de l’organigramme
Voici 3 compétences clés à développer – ou au moins à observer :
✅ Ampleur cognitive : apprendre à penser dans la tension entre opposés innover tout en protégeant l’existant, décider tout en incluant
✅ Hygiène décisionnelle : structurer ses processus distinguer faits et biais, impliquer les bonnes personnes, prévoir des issues réversibles
✅ Clarté dans l’ambiguïté : apprendre à faire une pause avant d’agir. Quel est le signal ? Quel est le bruit ? Quel est le coût de ne rien faire ?
📍 Le leadership en contexte complexe ne consiste pas à savoir.
𝐼𝑙 𝑠’𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑙’𝑖𝑛𝑐𝑒𝑟𝑡𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢’𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑟é𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑑𝑜𝑠𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑠𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́.