Les fusions-acquisitions (F&A ou Merge and Acquisition, M&A) suscitent souvent de l’enthousiasme stratégique : nouveaux marchés, synergies, croissance.
Mais derrière les chiffres et les poignées de main se cache une couche complexe de questions juridiques et fiscales qui peuvent renforcer, ou anéantir, la valeur de l’opération.

Posez-vous ces questions clés :

❓ Êtes-vous sûr que la structure cible permet une intégration fluide, ou cache-t-elle des risques invisibles ?


❓ Avez-vous évalué non seulement le prix de l’opération, mais aussi l’impact fiscal post-transaction sur les rendements réels ?


❓ Votre calendrier est-il réaliste ? Ou des obstacles réglementaires, contractuels ou de gouvernance risquent-ils de surgir ?

En Suisse, où se croisent structures transfrontalières, fiscalité cantonale et normes de conformité strictes, le succès d’une opération dépend autant de la précision que de la vision.

Voici 3 conseils pour sécuriser votre opération dès le départ :

Structurez l’opération dès l’entrée mais surtout en pensant à la sortie.
Share deal ou asset deal ? Réfléchissez à l’impact à long terme : financement futur, intégration, ou revente flexible.

Cartographiez les conséquences fiscales des deux côtés.
Une structure “neutre” peut engendrer des impôts anticipés, droits de timbre, ou pertes sur réserves latentes. Un ruling fiscal peut éliminer des mois d’incertitude.

Ne sous-estimez pas les frictions culturelles et de gouvernance.
La compatibilité juridique ne garantit pas l’harmonie opérationnelle. Anticipez la composition du conseil, les transitions managériales, et les couvertures de responsabilité avant la clôture.

📍La réussite d’une opération ne se mesure pas à la vitesse de signature, mais à sa robustesse une fois l’encre sèche.

N’hésitez pas à nous contacter pour valider votre approche stratégique juridique, fiscale, et opérationnelle.