La Suisse continue d’attirer les family offices pour sa stabilité, sa confidentialité et sa connectivité globale.
Mais le véritable avantage se cache souvent dans les couches invisibles : les aspects juridiques, fiscaux et opérationnels qui déterminent si l’installation sera fluide ou semée d’embûches.
À méditer :
❓ Avez-vous aligné vos véhicules d’investissement avec les différences fiscales cantonales avant de déménager ?
❓ Votre modèle de gouvernance fonctionnera-t-il harmonieusement avec le droit suisse des sociétés et des successions ?
❓ Vos relations bancaires sont-elles prêtes à répondre aux attentes réglementaires suisses ?
Nous avons vu des relocalisations qui semblaient parfaites sur le papier, mais qui ont rencontré des retards coûteux, des charges fiscales imprévues ou des lacunes de gouvernance, simplement parce que ces questions n’avaient pas été traitées à temps.
Voici 3 leviers qui font systématiquement la différence :
✅ 𝐒𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞𝐳 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐛𝐨𝐮𝐠𝐞𝐫
Choisissez et enregistrez le bon type d’entité, d’un SFO à une structure hybride avant de concrétiser votre relocalisation.
✅ 𝐈𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐞𝐳 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞́𝐭𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐫𝐨𝐧𝐭𝐚𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬
La planification fiscale suisse est optimale lorsqu’elle est coordonnée avec votre pays d’origine et les pays d’investissement actifs.
✅ 𝐏𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐥𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞
Des protocoles bancaires aux chartes familiales, veillez à ce que tout soit documenté, adaptable et juridiquement solide.
📍 Les family offices les plus solides ne font pas qu’« arriver » en Suisse ils arrivent préparés.
👉 Si ces questions figurent dans votre feuille de route, il pourrait être judicieux de les explorer avec un partenaire suisse capable d’aligner stratégie, droit et fiscalité sur un cap clair et cohérent.