La Suisse met à jour son approche de la protection des données numériques, un changement qui représente à la fois une opportunité et un risque pour les entreprises qui n’y prêtent pas attention.
Réfléchissez à ceci :
❓ Avez-vous évalué si la nouvelle Loi suisse sur la protection des données s’applique désormais à votre entreprise, même si vous êtes basé à l’étranger ?
❓ Quels systèmes avez-vous mis en place pour l’obligation de signaler les cyberattaques lorsqu’elles touchent des opérateurs d’infrastructures critiques ?
❓ Comment votre position de conformité évoluera-t-elle si la Suisse étend ses règles de surveillance pour inclure les VPN, les applications de messagerie ou les services cloud ?
Ces questions ne sont pas théoriques : elles impactent directement la manière dont votre entreprise traite les données, sécurise ses systèmes et structure ses services.
Trois étapes à envisager :
✅ 𝐂𝐚𝐫𝐭𝐨𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐢𝐞𝐳 𝐯𝐨𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬
Incluez les services destinés aux utilisateurs suisses, même s’ils sont gérés depuis l’étranger.
✅ 𝐏𝐥𝐚𝐧𝐢𝐟𝐢𝐞𝐳 𝐥𝐚 𝐝é𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐜𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐜𝐲𝐛𝐞𝐫
Mettez en place dès maintenant des systèmes d’alerte et des workflows, pour ne pas être pris au dépourvu si un seuil est atteint.
✅ 𝐀𝐧𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐞𝐳 𝐥𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐮𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞
Si vous dépendez de VPN ou de communications chiffrées, suivez attentivement la version finale de la loi sur la surveillance et évaluez ses impacts sur votre architecture de services et votre posture en matière de confidentialité.
📍 Le paysage de la confidentialité et de la surveillance en Suisse évolue rapidement. Les entreprises qui s’adaptent tôt préserveront la confiance et éviteront les crises. Celles qui ne le feront pas risquent de se retrouver face à une complexité inattendue.